Lionnes Indomptables en finale de la CAN: le jour de gloire est arrivé?

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3nTil2dqxln2il2LgalWPAnAGvX_ZsZ1GZGj4erDIKrZIoTMmuA2hXHzr2D241V09BoKswqfDeiUZL7uu8cdvH-FPUzh9-7VRtfO7fOsdpts0gocIi_Q6Z8SlGZ5lwaORY0sHeW8ZXXQ/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3nTil2dqxln2il2LgalWPAnAGvX_ZsZ1GZGj4erDIKrZIoTMmuA2hXHzr2D241V09BoKswqfDeiUZL7uu8cdvH-FPUzh9-7VRtfO7fOsdpts0gocIi_Q6Z8SlGZ5lwaORY0sHeW8ZXXQ/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <br /> Ce 3 décembre va entrer dans l'histoire. Comme le jour où l'équipe nationale féminine remporta sa première CAN de football. Ou comme le jour où le Nigeria empêcha le Cameroun pour la deuxième fois consécutive d'accomplir son rêve le plus cher. Le stade omnisports Ahmadou Ahidjo, le Cameroun tout entier, chaque coin de la planète où on rencontre un camerounais vibrerons cette après-midi au rythme de la finale de cette CAN.<br /> <br /> L'histoire qui s'écrit, c'est aussi celle du retour en grâce du football, de la communion entre le peuple et son équipe nationale. Grâce à une bande de jeune femmes pétillantes, intelligentes au jeu, belles à croquer dans leur état d'esprit conquérant. Elles sont en train de retourner et de fertiliser le terreau de notre fragile unité nationale. Depuis leur qualification face au Ghana, elles ont largement été célébrées. Et ce n'est pas terminé.<br /> <br /> Je veux aujourd'hui rendre un vibrant hommage à l'homme sans lequel cette heureuse euphorie ne serait peut-être pas possible. Ce n'est ni Paul Biya ni aucun des autres plaisantins auxquels l'organisation pratique de cette CAN a été confiée et qui ont pesamment œuvré à la faire échouer.<br /> <br /> L'homme de la situation, l'artificier, l'artisan de ces moments d'euphorie collective, l'architecte de cette nouvelle machine à distribuer du plaisir est Carl Enow Ngachu. Et personne d'autre.<br /> <br /> À la tête d'un travail passionné, acharné, constant, têtu, essuyant les revers, faisant front dans l'adversité, parfois à rebours de la fédération et du ministère des sports qui se sentent des compétences en gestion d'une sélection, il poursuit son œuvre avec le même acharnement depuis des années. Même quand pendant le stage préparatoire de cette CAN, il a été lâché par tous, trimbalant sa sélection dans des taxis de fortune, l'homme n'a pas relâché son audace et son envie de marquer cette compétition d'une empreinte particulière.<br /> <br />  Formé à l'INJS, il a complété sa diplômation d'entraîneur en Allemagne. À la tête des Lionnes après un parcours en club dont personne ne se souvient, il a tout réussi ou presque. Il a enchaîné toutes les premières fois, la sélection du Cameroun lui doit l'essentiel de ses lauriers. Avec cette finale à Yaoundé, il tient l'occasion d'une revanche: battre le Nigéria en finale d'une CAN et par la même occasion, permettre au Cameroun d'accéder au saint graal.<br /> <br /> Son secret, la stabilité de son effectif bâti autour d'un squelette solide. Au jeux olympiques d'été de 2012, Enow Ngatchu avait déjà Ngono Mani, Ajara Njoya, Raissa Feudjio, Gaelle Enganamouit et Aboudi Onguene dans ses petits papiers. La preuve qu'il n'y a pas de génération spontanée, que seul le travail patient et acharné porte des fruits probants.<br /> <br /> Cette après-midi, le stade Ahmadou Ahidjo sera plein à craquer. Je n'ai pas compris la manœuvre de la distribution gratuite des places qui a développé un sacré marché parallèle depuis mercredi. La fin de la compétition arrive et l'heure des comptes va sonner.<br /> <br /> Aujourd'hui, les questions polémiques peuvent attendre quelques heures. Le temps que nos Lionnes nous offrent une grande finale, des frissons, des larmes de joie, le plaisir de les voir à l'œuvre et, cerise sur le gâteau, notre première CAN féminine. Quoiqu'il arrive, elles sont déjà les reines de nos cœurs. Et que notre amour les porte vers une brûlante et brillante victoire. Allez les filles! Allez les Lionnes!<br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/ULNGHhdW__I/0.jpg" frameborder="0" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/ULNGHhdW__I?feature=player_embedded" width="320"></iframe></div> <br />

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Ce 3 décembre va entrer dans l'histoire. Comme le jour où l'équipe nationale féminine remporta sa première CAN de football. Ou co...

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Réflexions sur la CAMRAIL 1/2

<div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="4qs2d-0-0" style="background-color: white;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="4qs2d-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <blockquote class="tr_bq"> <span style="color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;">Et si on renationalisait...?</span></blockquote> </div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="4u4hb-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="4u4hb-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="4u4hb-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="8uf1u-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="8uf1u-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="8uf1u-0-0">Au plus fort de la crise économique des années 1990, la Régie Nationale des Chemins de Fer du Cameroun (REGIFERCAM), comme la majorité des entreprises publiques au Cameroun, était en lambeaux. Pas du fait de la crise économique. Plutôt à cause de choix de gestion douteux, ajoutés à l'ambiance générale de confusion entre les caisses de l'entreprise et les poches de ses dirigeants.</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="195kv-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="195kv-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="195kv-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="m1rj-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="m1rj-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="m1rj-0-0">La privatisation imposée pas les institutions de Bretton Woods devaient permettre le retour à l'équilibre, une amélioration du service en même temps que le renflouement des caisses de l'Etat.</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="4fhv8-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="4fhv8-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="4fhv8-0-0">Les rigueurs d'une gestion privée ont fait leurs preuves et permis le redressement de l'entreprise. La désormais CAMRAIL dégage des bénéfices importants sans avoir modernisé l'outil et ayant laissé une partie des tronçons à l'abandon. </span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="9kdq2-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="9kdq2-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="9kdq2-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="c33d-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="c33d-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="c33d-0-0">Cela signifie au moins une chose: la REGIFERCAM n'était pas plombée par un défaut de rentabilité.</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="ovuj-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="ovuj-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="ovuj-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="3a4jp-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="3a4jp-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="3a4jp-0-0">Problème, la privatisation n'a pas consisté en la libéralisation du secteur. Au monopole d'Etat a succédé un monopole de capitaux privés. Or, les entreprises à l'abri de la concurrence, du fait de leur monopole, ont tendance à se reposer sur leurs lauriers, à minorer sévèrement les investissements.</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="7cvu1-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="7cvu1-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="7cvu1-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="2hp3k-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="2hp3k-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="2hp3k-0-0">L'un des enseignements de la catastrophe d'Eséka c'est que Camrail, avec son cahier des charges fantôme, ne réinvestit pas ses bénéfices (si oui à la marge) dans sa propre expansion. </span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="195ig-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="195ig-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="195ig-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="7ro3p-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="7ro3p-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="7ro3p-0-0">On redécouvre aussi que le transport des usagers a été relégué au second plan malgré quelques améliorations sur l'accueil, le confort et les temps de parcours. Pour faire la part belle au transport des marchandises. Pourtant, la concession faite au groupe Bolloré Logistics est une délégation de service public. En l'occurrence, le Cameroun déléguait son service public de transport ferroviaire à l'actionnariat privé.</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="fhu7e-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="fhu7e-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="fhu7e-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="45qhg-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="45qhg-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="45qhg-0-0">Il y aurait de nombreux avantages si l'Etat reprenait la main par le billet de la nationalisation. Dont 3 principaux:</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="3g0dt-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="3g0dt-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="3g0dt-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="42tic-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="42tic-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="42tic-0-0">1) L'Etat redevenant actionnaire unique, les bénéfices qui partent en dividendes aux actionnaires seraient directement réinjectés et consacrés à la modernisation du réseau ferré existant.</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="8gnc5-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="8gnc5-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="8gnc5-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="50uui-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="50uui-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="50uui-0-0">2) Dans le cadre des grands chantiers nationaux, la modernisation tous azimuts entraînerait l'extension du réseau pour desservir progressivement toutes les capitales régionales, simple étape vers le maillage complet du territoire national. </span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="63bdt-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="63bdt-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="63bdt-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="fefqr-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="fefqr-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="fefqr-0-0">3) Toutes les mesures d'expansion, chaque mise en chantier créeraient, de fait, de nouveaux gisements d'emplois. Les petites économies locales connaîtraient, par ce billet, un nouveau rebond. Car là où le train passe, le développement peut suivre.</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="2s6bk-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="2s6bk-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="2s6bk-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="bbj6o-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="bbj6o-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="bbj6o-0-0">4) Sans négliger le fret, l'Etat consacrerait davantage de moyens au transport des personnes et à leur sécurité: par l'agrandissement du parc et le relèvement des normes. Sachant que la démographie galopante et l'éclosion de nouveaux pôles d'activités vont accroître la demande en transports rapides, accessibles et "sécures".</span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="b7g1s-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="b7g1s-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="b7g1s-0-0"><br data-text="true" /></span></div> </div> <div class="" data-block="true" data-editor="9tos5" data-offset-key="apg06-0-0" style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; white-space: pre-wrap;"> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="apg06-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="apg06-0-0">Dans cette perspective, le piège à éviter serait le retour à la gestion "parternaliste" du temps de la REGIFERCAM. Il suffirait par exemple d'objectiver la part variable de toutes les rémunérations, depuis les cadres jusqu'à la direction, en l'adossant sur une obligation draconienne de résultats.</span></div> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="apg06-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="apg06-0-0"><br /></span></div> <div class="_1mf _1mj" data-offset-key="apg06-0-0" style="direction: ltr; position: relative;"> <span data-offset-key="apg06-0-0"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjy5Qt0ApGWpd5XcRFQWcCPcgqOnziS4BS8TBai37mZ4t2GZHL1-Ga7Q1-wkGdvtW75hkTz33Ov9XDwFPKkv13EKYAP0piQtPUb8PPID2XAtsUew-UCfIzTRjnWZc8VCEoXYOMvGCganYY/s1600/14595649_10209215999508441_8742102635720066561_n.jpg" imageanchor="1"></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjh2b7Dwj1yumhpYbZ98oQYNuEocguZCyMBHTbGhU8xuZgykFEwKrj8ez1-Zu-fkAgOrnCWjJqEG8cI61lMEjZW_yQB2aieTdMuwSvQm4NuMau71eT-LtyWNpqX8oxPbw-nxV-vmjByiDA/s1600/14705790_10209215999228434_8953285044334767574_n.jpg" imageanchor="1"></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhiUmeLAy1TDtox8hzwPIsCiqmJdK-DbKFHwy1Xd96F-f-_SwwxeDTqp9EY3tL9HnaGSrhYnGHhUuW_KwSVr2CPRzeT6rYdv7Vc_dmoVSVo9Rn9k6arVlIhVjLFGm-WRvRUJuGnwpC594/s1600/14718867_10209215999188433_3644991110103991435_n.jpg" imageanchor="1"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhiUmeLAy1TDtox8hzwPIsCiqmJdK-DbKFHwy1Xd96F-f-_SwwxeDTqp9EY3tL9HnaGSrhYnGHhUuW_KwSVr2CPRzeT6rYdv7Vc_dmoVSVo9Rn9k6arVlIhVjLFGm-WRvRUJuGnwpC594/s320/14718867_10209215999188433_3644991110103991435_n.jpg" width="320" /></a><img border="0" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjh2b7Dwj1yumhpYbZ98oQYNuEocguZCyMBHTbGhU8xuZgykFEwKrj8ez1-Zu-fkAgOrnCWjJqEG8cI61lMEjZW_yQB2aieTdMuwSvQm4NuMau71eT-LtyWNpqX8oxPbw-nxV-vmjByiDA/s320/14705790_10209215999228434_8953285044334767574_n.jpg" width="320" /><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjy5Qt0ApGWpd5XcRFQWcCPcgqOnziS4BS8TBai37mZ4t2GZHL1-Ga7Q1-wkGdvtW75hkTz33Ov9XDwFPKkv13EKYAP0piQtPUb8PPID2XAtsUew-UCfIzTRjnWZc8VCEoXYOMvGCganYY/s320/14595649_10209215999508441_8742102635720066561_n.jpg" width="320" /></span></div> </div>

Réflexions sur la CAMRAIL 1/2

Et si on renationalisait...? Au plus fort de la crise économique des années 1990, la Régie Nationale des Chemins de Fer du Camer...

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RIGOBERT SONG BAHANAG, de l'équipe nationale au Panthéon

<br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/D-2q_Lk_Tjo/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/D-2q_Lk_Tjo?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div> <br /> <br /> Il faut dire les choses telles qu'elles sont. Rigobert Song Bahannag, du temps de son emblématique carrière, n'avait pas le chaloupé virevoltant et le touché de balle élégant qui firent de Roger Milla le premier footballeur africain à porter une équipe en quarts de finale de la coupe du monde. #RSB n'avait pas le talent truculent qui a fait de Samuel Eto'o le footballeur le plus chèrement acquis au monde, le footballeur africain le plus titré de tous les temps. Mais #RSB n'était pas un piètre joueur pour autant. Dans la catégorie des défenseurs centraux, il n'était pas loin de rivaliser avec les tout meilleurs.<br /> <br /> Quelque chose en a, cependant, fait la crème de la crème: son charisme. #RSB en irradiait, il était enveloppé d'une atmosphère immatérielle si palpable qu'elle en a fait un meneur d'hommes, un capitaine de troupes, un chef de bande naturel et incontestable. Il a toujours eu ce côté Bad Boy qui fait chavirer les filles dans les cours de récréation. Il a presque toujours vécu une vie sans discipline, dissolue pour n'avoir peur d'aucun mot, une vie dans laquelle les plaisirs interdits côtoyaient le sens du devoir, à la fois par devoir et par inclination personnelle.<br /> <br /> Sur les pelouses, #RSB était un gladiateur, au taquet de la première à la dernière minute. Une présence qui donnait des sueurs froides aux attaquants adverses, un niveau d'engagement qui stimulait ses coéquipiers. #RSB, c'était d'abord la hargne et la détermination d'un soldat condamné à vaincre ou périr sur le champ de bataille. #RSB c'était aussi la fougue et le transport d'un homme fraîchement converti à l'amour d'une femme; et la passion d'une femme ravagée par la jalousie, brûlée par le feu de posséder exclusivement ce qu'il lui appartient. Ses 137 sélections ne sont pas tombées du ciel, il les a méritées les unes après les autres.<br /> <br /> Quand on interroge ses camarades de sélection, ils racontent tous l'histoire d'un homme intrépide, conquérant, disponible, une boussole pour les plus jeunes, un fil d'ariane pour les autres, un liant entre les générations, celui qui servait de zone tampon dans les moments de conflit.<br /> <br /> Son histoire personnelle explique le capital sympathie dont il jouit. Seule la mort brutale de Marc-Vivien Foé le 26 juin 2003 avait mis les camerounais dans un tel émoi. L'annonce des déboires de santé de RSB a déchaîné des passions qui auraient pu embraser le tissu social camerounais. En remettant sur le billard les faiblesses du système de santé, ses carences en structures de pointes, malgré un personnel souvent compétent et dévoué au-delà de toutes les espérances.<br /> <br /> Pour le citoyen ordinaire, il n'importe qu'une chose, que RSB se remette de son accident vasculaire cérébral. Son admission à la Pitié Salpêtrière à Paris a calmé les esprits. Dans l'incertitude générale entretenue par l'omerta sur l'évolution de l'état du malade, l'ancien capitaine des Lions Indomptables croule sous les hommages. L'emballement médiatique et l'émotion sincère de ses compatriotes l'ont hissé au rang de héros et de patriote, une panthéonisation avant l'heure; quoique troublée par le retour du démon latent qui traverse l'histoire récente du Cameroun: le tribalisme.<br /> <br /> Il n'empêche, RSB mérite, au-delà de la tragédie  personnelle qui secoue son destin, d'être salué comme un modèle d'engagement, un exemple d'humilité, un repère pour une jeunesse en quête de son identité et pour tous ceux qui sont appelés à défendre les couleurs nationales.<br /> <br /> Ce n'est donc pas à un gisant que nous rendons hommage. Nous saluons la mémoire d'un homme, d'une icône que les vivants célèbreront encore longtemps.<br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3nTil2dqxln2il2LgalWPAnAGvX_ZsZ1GZGj4erDIKrZIoTMmuA2hXHzr2D241V09BoKswqfDeiUZL7uu8cdvH-FPUzh9-7VRtfO7fOsdpts0gocIi_Q6Z8SlGZ5lwaORY0sHeW8ZXXQ/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3nTil2dqxln2il2LgalWPAnAGvX_ZsZ1GZGj4erDIKrZIoTMmuA2hXHzr2D241V09BoKswqfDeiUZL7uu8cdvH-FPUzh9-7VRtfO7fOsdpts0gocIi_Q6Z8SlGZ5lwaORY0sHeW8ZXXQ/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <br />

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Il faut dire les choses telles qu'elles sont. Rigobert Song Bahannag, du temps de son emblématique carrière, n'avait pas le cha...

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NOS ARTISTES ONT DU TALENT

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/re2QxFycs_g/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/re2QxFycs_g?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div> <br /> Liza-T, une Etoile dans le ciel ou la vedette aux deux chansons<br /> <br /> Quand on entend parler de Liza-T, on pourrait penser qu'il s'agisse d'une chanteuse camerounaise parmi les plus prolifiques. Pourtant, on ne lui connait qu'un album paru de mémoire entre 1993 et 1994. Cette œuvre, unique mais puissante, ne comportait que deux titres originaux: Nostalgie, la chanson éponyme et la très dansante Associé, épilogue d'une histoire d'amour qui résiste mal aux petites trahisons.<br /> <br /> Le reste de ce chef-d'oeuvre est fait de reprises. C'est le cœur même du projet de la jeune chanteuse, faire découvrir ou faire redécouvrir certaines chansons, célébrer des musiciens emblématiques et mettre en exergue la variété ou l'engagement des textes auxquels parfois on ne fait pas attention.<br /> <br /> Il y a là Eko Roosevelt, le pianiste crooner; Pierre Tchana, le panafricaniste; Messi Martin, le Père du Bikutsi moderne et Eboa Lotin qui n'as pas fini d'inspirer des générations de musiciens du Makossa. Si Liza-T peut s'attaquer à ces Monstres Sacrés, c'est grâce à l'habitude qu'elle a de la scène. Mais c'est aussi grâce à ses cordes vocales vibrionnantes et disciplinées par l'expérience.<br /> <br /> Seuls les puristes avaient retenu le sens du projet de Liza-T. De sorte que seuls ses deux titres originaux sont passés à la prospérité. Lesquels lui valent le statut de grande chanteuse que le temps ne démentira pas.<br /> <br /> On l'avait quittée jeune et resplendissante à la fin des années 90. On la croyait en Suisse ou au Royaume Uni. C'est dans son Douala natal qu'elle a été retrouvée l'année dernière par une équipe de télévision. Elle paraissait 70 ans et n'en avait pas tout à fait 46: décrépite, rongée par une tuméfaction qui lui encombre le cou, en peine de se soigner, manquant du minimum vital. Son état de santé est de nouveau un sujet de préoccupation, elle ne va pas mieux.<br /> <br /> Née Elise TCHUISSA YANKOUA, Liza-T aura 48 ans le 28 octobre. En dépit de la maladie et du dénûment, elle tient la place d'un monument dans l'imaginaire collectif. Son talent a fait d'elle une vedette, une artiste adulée.  Avec deux chansons seulement, Liza-T fera encore danser, pendant très longtemps, des hordes de camerounais.<br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3nTil2dqxln2il2LgalWPAnAGvX_ZsZ1GZGj4erDIKrZIoTMmuA2hXHzr2D241V09BoKswqfDeiUZL7uu8cdvH-FPUzh9-7VRtfO7fOsdpts0gocIi_Q6Z8SlGZ5lwaORY0sHeW8ZXXQ/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3nTil2dqxln2il2LgalWPAnAGvX_ZsZ1GZGj4erDIKrZIoTMmuA2hXHzr2D241V09BoKswqfDeiUZL7uu8cdvH-FPUzh9-7VRtfO7fOsdpts0gocIi_Q6Z8SlGZ5lwaORY0sHeW8ZXXQ/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <br />

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Liza-T, une Etoile dans le ciel ou la vedette aux deux chansons Quand on entend parler de Liza-T, on pourrait penser qu'il s'ag...

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Kamto, Bakassi et Biya : hypothèse d’un cercle vicié ?

<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="270" src="https://www.youtube.com/embed/Zh7JOkA7J2U" width="480"></iframe>

Kamto, Bakassi et Biya : hypothèse d’un cercle vicié ?

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Kamto, Bakassi et Biya : hypothèse d’un cercle vicié ?

<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKVlIbmuVsPfEo4vM90JkTwsC5b6UrPV0eJiXTO23dQ08STap3jEOQWboImNa45uslUlmYwXPoX2oIQpt9FEOyDKmsQ2HNsU29Icfxv17pIFifx1wInyMr8LhIadJsZnDqXlLWoBbVKHk/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjKVlIbmuVsPfEo4vM90JkTwsC5b6UrPV0eJiXTO23dQ08STap3jEOQWboImNa45uslUlmYwXPoX2oIQpt9FEOyDKmsQ2HNsU29Icfxv17pIFifx1wInyMr8LhIadJsZnDqXlLWoBbVKHk/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Maintenant que la tempête s’est calmée autour du président national du MRC et l’affaire dite du toilettage du code pénal du Cameroun, il faut rappeler une évidence et poser la question du lien que l’affaire Bakassi a créé entre Maurice Kamto et PauL Biya.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">L’évidence c’est que l’adjudication du marché de mise à jour du code pénal au cabinet Brain Trust constituait un problème éthique et moral. Tous les éléments juridiques du délit de prise illégale d’intérêts au sens où l’entend la loi étaient réunis. A l’époque des faits, Maurice Kamto, ministre délégué à la justice est dépositaire de l’autorité publique. Il n’a pas cessé d’être actionnaire majoritaire et associé aux bénéfices du cabinet dont la candidature est retenue. Son absence du Pays, sa non-participation aux délibérations ne suffisent pas à faire oublier que c’est son entreprise qui est en compétition et qu’il est le ministre de tutelle. On ne saura jamais vraiment ce qu’il s’est passé et Maurice Kamto reste innocent par principe, puisque aucun juge ne se saisira de l’affaire pour faire dire le droit.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">On se retrouve à baigner dans les eaux glauques de l’entre soi en raison duquel Kamto a quitté le gouvernement. Autrement, personne ne comprendrait qu’en pleine opération épervier, un tel scandale supposé secoue la presse et les réseaux sociaux sans faire frémir l’appareil judiciaire.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">On en vient à se demander ce qui rendrait Kamto intouchable ?<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"> Un premier élément de réponse se trouve dans l’attitude, innocente et de bonne foi, des militants et sympathisants du MRC pendant les heures chaudes de cette controverse. Sans en mesurer la portée, ils ont pris Laurent Esso pour témoin de moralité de leur champion. Personne n’a semblé en avoir conscience, mais c’était au moins une erreur de marketing. Soit le camp que représente l’actuel garde des sceaux conduit le Cameroun vers le mur et il faut s’en désolidariser, soit il n’est pas si infréquentable que cela et la prise de distance de Maurice Kamto en novembre 2011 n’avait aucun fondement.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">L’autre élément de réponse, plus probant celui-là, réside dans les non-dits de l’affaire Bakassi au sujet de laquelle Maurice Kamto a toujours été le plus évasif. Prétextant des éléments sensibles du dossier alors que l’ensemble de l’affaire est consignée dans les minutes du « procès » disponibles et consultables sur le site de la Cour Internationale de Justice.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">En l’espèce, le tribunal de la Hayes, reconnaissant la camerounité de Bakassi avait cependant déclaré l’état du Cameroun inapte à définir les règles d’entrée et d’établissement sur la presqu’île querellée. Non seulement les nigérians installés sur le sol du Cameroun en toute illicéité pouvaient demeurer, mais ils restaient aussi maîtres du choix de leur nationalité. En fait de victoire, l’issue de Bakassi est un camouflet détourné pour les besoins de la propagande. En célébrant une victoire judiciaire, la sauvegarde de la paix et de l’intégrité du territoire, on faisait de Maurice Kamto un héros malgré lui.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">De sorte que saborder le président national du MRC aujourd’hui, reviendrait à mettre fin au traité de non belligérance tacite conclu avec l’épilogue de Bakassi et à révéler au grand jour l’une des supercheries les moins glorieuses du régime du renouveau.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">En fin de compte, un homme dont l’offre politique n’a pas manqué de séduire, se retrouverait englué dans les affaires, confortant les camerounais dans leur désamour consommé pour la politique, renforçant le soupçon du tous pareils, tous de mèche, tous intouchables. Et le bruit que Paul Biya se serait payé un nouvel homme de paille à prix d’or continue de faire son chemin.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/Zh7JOkA7J2U/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/Zh7JOkA7J2U?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <br /> <div class="MsoNormal"> <br /></div>

Kamto, Bakassi et Biya : hypothèse d’un cercle vicié ?

Maintenant que la tempête s’est calmée autour du président national du MRC et l’affaire dite du toilettage du code pénal du Cameroun, i...

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Comment ne pas distinguer entre au moins deux types de camerounais ?

<div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwAptkeE-RUTYvGfBqG-WAaH8G30cC0av9dMR6CM4p7g-p4Q84rOoX1-YI_2SigdsULaVIg8SBaaVriSRNCkOi-ncjKodfdBzPf_0pZjlIRToa2hgG_svZ4RxQB-sFEmMUTMoa3E2jK5E/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwAptkeE-RUTYvGfBqG-WAaH8G30cC0av9dMR6CM4p7g-p4Q84rOoX1-YI_2SigdsULaVIg8SBaaVriSRNCkOi-ncjKodfdBzPf_0pZjlIRToa2hgG_svZ4RxQB-sFEmMUTMoa3E2jK5E/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Il doit y avoir, d’une part, ceux qui en toutes circonstances se soucient du rayonnement de la mère patrie. Pour elle, ils piétinent les règles les plus établies, violent les protocoles les plus sévères, ignorent les procédures qu’ils ont eux-mêmes mises en place, méprisent les coutumes qui régissent leur domaine de compétence depuis plus d’un siècle. Parmi eux, il faut citer Issa Hayatou. Le président de la confédération africaine de football est en train de réussir un tour de magie. Le Cameroun va accueillir la CAN féminine du 19 novembre au 3 décembre prochain. La commission de la CAF chargée d’inspecter les travaux de construction et de mise à niveau des infrastructures est au Cameroun. Elle apprend à Yaoundé, de réunion en dîner de gala, que les travaux ne sont pas achevés. Puis elle est convoyée à Buéa et Limbé où elle pourra enfin voir un stade construit à à-peu-près 75%. Motus et bouche cousue, ce sera assez pour valider l’organisation de la CAN par le pays du président de la CAF.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Il y a d’autre part, ces camerounais qui donnent l’impression, par leur entêtement, de détester leur pays de manière viscérale. Est-il encore Dieu possible d’organiser des charters pour conditionner le vote des délégués pour l’élection d’un président de ligue de football ? Est-il encore Dieu possible, de contraindre des votants à apporter la preuve de leur loyauté en immortalisant leur choix dans l’isoloir ? Des pratiques empruntées à Staline et Mussolini et exploitées en plein troisième millénaire. Pour finir d’asseoir une hégémonie quasi martiale, la composition de l’assemblée générale de la ligue sera probablement revue pour faire une place au Gicam et aux différents sponsors. Preuve s’il en faut des promesses de campagne impossibles à tenir parce qu’impossibles à financer sur le modèle qui a été présenté. Il faut désormais câliner les bailleurs de fonds potentiels pour espérer la mise en route de la phase d’étude des projets. Il devrait y avoir assez de temps pour y arriver en quatre ans.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Contrairement à ce qu’il pourrait y paraître, ces deux types de camerounais arrivent à un résultat identique. Ils desservent leur pays. L’organisation d’un barnum comme la CAN devrait être l’occasion de bétonner des infrastructures de qualité, fiables et pérennes. Lesquelles auraient à leur tour contribué à l’amélioration de l’ordinaire des différents championnats et ouvert la porte à l’accueil d’autres compétitions sous régionales ou continentales. En lieu et place de cela, le Cameroun va se retrouver en décembre avec des stades mal achevés qui risquent de se dégrader très rapidement. Et puisque la ligue n’aura pas les moyens d’atteindre ses objectifs, la prochaine fois que le Cameroun voudra organiser un autre grand rassemblement sportif, il faudra tout reprendre, de zéro.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Il reste deux autres types de Camerounais :<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Ceux qui continuent de parler, par devoir, remplis d’optimisme, comme la voix qui crie dans le désert, convaincus que le message sera entendu un jour.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <br /> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Et les autres, lassés et désabusés, qui ne prêtent plus qu’une oreille distraite à ce cirque, en espérant que le temps fasse son œuvre d’usure sur les hommes ou que comme la pluie, un miracle descende du ciel.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/ynSbHLR_1Kg/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/ynSbHLR_1Kg?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div>

Comment ne pas distinguer entre au moins deux types de camerounais ?

Il doit y avoir, d’une part, ceux qui en toutes circonstances se soucient du rayonnement de la mère patrie. Pour elle, ils piétinen...

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Le football Camerounais dans la tourmente

<br /> <br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJxFeA1q20EfiW0JfiR_awc1KQaG6hpZh2d4BGNaEmRpkS1kR_ATVqtybBbRTxm3cT_5S2UyoSHbPpZQ1RPBrjUZPEmXX9ioykTFbLwM3o3dipKk1gKhg7a-_WUbpGqTvOxn9OGaXxpdw/s1600/lfpc.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="177" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJxFeA1q20EfiW0JfiR_awc1KQaG6hpZh2d4BGNaEmRpkS1kR_ATVqtybBbRTxm3cT_5S2UyoSHbPpZQ1RPBrjUZPEmXX9ioykTFbLwM3o3dipKk1gKhg7a-_WUbpGqTvOxn9OGaXxpdw/s320/lfpc.jpg" width="320" /></a></div> <br /> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Le football camerounais est dans de sales draps. Et ce n’est pas une affirmation gratuite. Le lancement officiel de la compagne en vue de l’élection du prochain président de la ligue professionnelle a ouvert la porte à tous les superlatifs : de la démagogie, du mensonge, des promesses fallacieuses et de la poudre aux yeux.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">J’ai parcouru mercredi après-midi le plan d’action du président sortant et candidat à sa propre succession. Si je n’ai pas pouffé de rire, c’est que tout cela est bien alléchant mais n’a rien de drôle. Pourtant Pierre Semengue se joue du bon sens commun en prenant les membres de l’assemblée générale élective pour des demeurés.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">L’homme vient de passer 5 ans en maître absolu à la tête de la ligue. Pas une idée constructive dont on se souvienne, pas l’ombre d’un projet que l’histoire retienne.  Et là, révolution copernicienne, comme Newton découvrant par le plus grand des hasards la loi de la gravitation, Pierre Semengue aurait trouvé le moyen de rendre la ligue riche, puissante et professionnelle. Il promet de doter le Cameroun de 25 complexes sportifs de proximité d’une capacité de 10.000 à 15.000 places dans 25 villes triées sur le volet. Il y ajouterait un hôpital spécialisé dans la médecine sportive avec une capacité de 150 lits. Pour le fonctionnement de la ligue, Pierre Semengue fait miroiter une enveloppe de 500 millions de financement annuel pour chaque club de première division. Et une enveloppe 350 millions par équipe évoluant de D2. Ramenés sur 4 ans, les deux axes infrastructure et fonctionnement nécessiteraient une bagatelle somme comprise en 180 et 200 milliards de fcfa.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Pour financer ce projet ambitieux, pharaonique et conquérant, le général compte sur les entreprises et un dispositif de défiscalisation décidé par l’état et taillé à sa mesure. A moins d’une entourloupe destinée à flouer son concurrent, Pierre Semengue n’a pas compris le sens de la défiscalisation. Le procédé permet aux entreprises qui financeraient le football par le mécénat et le sposoring d’être exonérées d’impôt sur 5% de leur chiffre d’affaire. A ne pas confondre avec la déduction fiscale qui permet de diminuer du montant des impôts nets à payer les sommes consacrées au financement d’œuvres caritatives ou de mécénat dans la limite du seuil fixé. En clair, l’état n’aurait jamais demandé aux entreprises, même publiques, de consacrer 5% de leur chiffre d’affaire aux lubies de Pierre Semengue, sauf à vouloir les faire couler les unes après les autres.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <br /> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">On atteint des sommets de fumisterie. Le tour de passe-passe a bien fonctionné. Double couche de poudre aux yeux pour la presse et quelques acteurs du monde sportif. Le cas notamment d’André Noel Essian, déserteur de la liste Happi et Zacharie WANDJA candidat recalé. Tous deux apportent leur voix à la liste Semengue. Pourtant, si on prenait le soin de faire apparaître les choses sous leur vrai jour à l’assemblée générale élective de la ligue, le résultat de la consultation du 28 juillet pourrait être différent de celui qu’on croit déjà connaître. Malheureusement, d’ici à ce que cela se produise, beaucoup d’eau aura coulé sous les ponts.<o:p></o:p></span></div> <br /> <br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/fk2DMR7SXe8/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/fk2DMR7SXe8?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div> <br />

Le football Camerounais dans la tourmente

Le football camerounais est dans de sales draps. Et ce n’est pas une affirmation gratuite. Le lancement officiel de la compagne en vu...

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monseigneur jerome owono mimboe est mort

<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px;"> Jérôme Owono-Mimboe Ancien évêque du Diocèse d’Obala n’est plus</div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Né le 4 février 1933 et ordonné Prêtre de l’église catholique romaine le 22 Juillet 1962<br />il sera Consacré évêque et nommé dans le diocèse d’obala, il y aura servit entre Juillet 1987 et Décembre 2009 date de sa retraite<br />Il meurt à l'age de 83 ans</div> <div class="text_exposed_show" style="background-color: white; color: #1d2129; display: inline; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px;"> <div style="margin-bottom: 6px;"> PAIX À SON AME</div> <div style="margin-bottom: 6px;"> <br /></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWsibACWAgQknJ3kXTVoacVgC5NFs6NnilZwH389TfiwHS3Ut7UWuQAGjo9DzfCFFydicLWbHzyI85e9oRNE97HCeMk40jGzBAEWknG24K6fUMsyRU1gg5pU-_O3I2H8n_yfXLagbVeYg/s1600/WhatsApp-Image-20160715.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="240" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiWsibACWAgQknJ3kXTVoacVgC5NFs6NnilZwH389TfiwHS3Ut7UWuQAGjo9DzfCFFydicLWbHzyI85e9oRNE97HCeMk40jGzBAEWknG24K6fUMsyRU1gg5pU-_O3I2H8n_yfXLagbVeYg/s320/WhatsApp-Image-20160715.jpeg" width="320" /></a></div> <div style="margin-bottom: 6px;"> <br /></div> </div>

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Jérôme Owono-Mimboe Ancien évêque du Diocèse d’Obala n’est plus Né le 4 février 1933 et ordonné Prêtre de l’église catholique romaine le ...

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Le Cameroun pour les nuls: Charles NDONGO, la CRTV et les défis de la moderni...

<a href="http://lecamerounpourlesnuls.blogspot.com/2016/07/charles-ndongo-la-crtv-et-les-defis-de.html?spref=bl">Le Cameroun pour les nuls: Charles NDONGO, la CRTV et les défis de la moderni...</a>: La nomination de Charles Ndongo à la direction de la Cameroon Radio Télévision ( CRTV ) n’a pas fait que des heureux ; saluée par...

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Le Cameroun pour les nuls: Charles NDONGO, la CRTV et les défis de la moderni... : La nomination de Charles Ndongo à la direction de la Ca...

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Charles NDONGO, la CRTV et les défis de la modernité

<div class="MsoTitle"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqp5J8p1BB_atQ8TJa8mKy0zm8vGOYEC8w6tQS-cvvLyayqAZAxF3F8I_hQzfKrBmSXQ4arP4P1ME75fQ5mcG9OAd-FxZje4KTXa_IyhMrJZKYrMbvDbjP13kTU2-ZxLxwpcOGNGeXmwM/s1600/crtv.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="141" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqp5J8p1BB_atQ8TJa8mKy0zm8vGOYEC8w6tQS-cvvLyayqAZAxF3F8I_hQzfKrBmSXQ4arP4P1ME75fQ5mcG9OAd-FxZje4KTXa_IyhMrJZKYrMbvDbjP13kTU2-ZxLxwpcOGNGeXmwM/s320/crtv.jpg" width="320" /></a></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">La nomination de<b> Charles Ndongo</b> à la direction de la Cameroon Radio Télévision (<b>CRTV</b>) n’a pas fait que des heureux ; saluée par les uns, décriée par un nombre considérable d’autres. De la nomination de complaisance (tribale et clanique) au pays organisateur en passant par le non-respect de la procédure ou le mépris du président de la république pour la conseil d’administration de la CRTV, la critique la plus injustifiée que j’ai entendue porte sur la compétence journalistique du remplaçant de Amamdou Vamoulké.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Quand Charles Ndongo entame sa carrière professionnelle au début des années 80, la voix royale est évidemment la presse publique. La ligne éditoriale ne fait pas l’ombre d’une ambiguïté dans un pays monolithique avec des pouvoirs concentrés. Si les journalistes peuvent penser tout bas, ils savent n’avoir aucune marge de manœuvre dans ce qu’il est permis de dire tout haut. Dans ce contexte, Charles Ndongo est tenu par les conditions de travail définies par son employeur. On peut regretter que ses idées épousent alors celles du régime en place. Pourtant il ne fait qu’exercer son droit, celui de sa liberté de conscience. Dans le cadre de ce qui est autorisé, son travail est remarqué et lui vaut la carrière qu’on sait. Fin du débat !<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Charles Ndongo, directeur général de la CRTV (et <b>Emmanuel WONGIBE </b>pour le seconder) ? Tout un symbole ! Au-delà de la personne et du personnage, c’est une consécration pour la profession. C’est le choix de confier à des journalistes de plein exercice, la définition des orientations d’avenir d’un audiovisuel public en plein naufrage, resté figé dans des schémas dépassés,  submergé par les vagues d’une presse privée pugnace, inventive, parfois médiocre mais audacieuse et dans le vent de la modernité.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Le challenge de faire revivre la CRTV ne sera pas une mince affaire. Il s’agira de lui rendre sa force de jadis, quand, enfants, nous restions une  demi-heure ou plus à contempler, comme un spectacle en soi, l’horloge du compte à rebours avant le début des programmes télévisés.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Il faudra d’abord déverrouiller la ligne éditoriale. Ce sera l’opération la plus difficile à réaliser. Les résistances viendront de tous les bords. Mais avec son puissant réseau de correspondants en région, la CRTV a les moyens humains de produire une information complète, plurielle, discutée…<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Il faudra dans le même temps remobiliser  et redéployer les effectifs, peut-être trop importants, généralement sous-employés pour améliorer les programmes par la stimulation de la créativité. Grâce à la créativité, les décors d’émission sur fond de murs à carreaux façon salle de bain, les plateaux de JT découpés dans du contre-plaqué, les émissions nonchalantes en radio  qui ressassent les meetings politiques, les promenades de préfets, les éructations de chefs de villages ou le chapelet sans fin des avis de décès pourraient enfin disparaître pour faire la place à des programmes plus dynamiques, attrayants, en droite ligne de ce qui se fait de mieux dans le métier.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><b>Parce que la créativité ne se suffit pas, il faudra moderniser l’outil de travail pour redonner aux professionnels de la radio et de la télévision les moyens d’exprimer la pleine mesure de leur savoir-faire. Y compris en les formant de nouveau pour adapter leurs compétences aux évolutions du matériel.<o:p></o:p></b></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Et qui mieux que des journalistes ayant éprouvé ces difficultés  dans l’exercice quotidien de leur métier pourraient prendre la mesure des enjeux et aller tout de suite à l’essentiel compte tenu de l’urgence de la situation ? Quelques puissent en être les motivations, la nomination de Charles Ndongo a la faveur de marquer le début d’une ère nouvelle, du moment que tous ces défis sont considérés comme nécessaires à la survie de la CRTV. Il leur reste, à lui le nouveau directeur général et son équipe, à se mettre au travail.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/FDD5fHIkBas/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/FDD5fHIkBas?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div>

Charles NDONGO, la CRTV et les défis de la modernité

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LE SPECTRE DE SAMUEL ETO'O PLANE SUR LES LIONS

<div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMrqLOVdR6YVFgyPKH1eCE57kByP4zkOcIzYB2X9QY-BPDtobJrouBPXSiiFohRgyLdk4fGuWPha8YeIVRNhmedD2DShJp4yxID4LNVq0FWvoC0mKGNWnS5-u2EsiwNi5j7hLlf3i6RFU/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMrqLOVdR6YVFgyPKH1eCE57kByP4zkOcIzYB2X9QY-BPDtobJrouBPXSiiFohRgyLdk4fGuWPha8YeIVRNhmedD2DShJp4yxID4LNVq0FWvoC0mKGNWnS5-u2EsiwNi5j7hLlf3i6RFU/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <br /> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Depuis qu’il a mis un terme à sa carrière internationale en 2014, Samuel Eto’o est devenu un marronnier pour les analystes et les commentateurs sportifs, un sujet qui revient dans l’actualité avec la régularité d’une horloge suisse. Il suffit pour cela que les Lions Indomptables soient confrontés à des incertitudes quant à leurs performances ou à leur avenir. Et toute de suite, la question va être posée de savoir s’il ne faudrait pas négocier avec le joueur le plus titré de l’histoire du football camerounais, attendu qu’il est encore en activité et que le niveau de son rendement fait pâlir d’envie les plus jeunes et les plus en jambes.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Alors que l’essentiel des championnats sont à la trêve et que les potentiels appelés des lions sont en vacances au Cameroun pour la plus part, personne ne sait vraiment quel est l’état d’esprit général de l’équipe nationale. Ce qu’on croit savoir en revanche, c’est qu’il y aurait de l’eau dans le gaz entre le sélectionneur et le capitaine, que le potentiel de l’effectif actuel n’est pas un sujet de frayeur pour nos prochains adversaires, que les rangs des mécontents n’ont cessé de grandir et que s’il venait à perdurer une ambiance délétère au sein du groupe, la qualité du jeu et les résultats s’en feraient ressentir.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Le prétexte est donc tout trouvé pour invoquer le retour d’un homme providentiel, talentueux au possible, adulé, respecté par certains, craint par d’autres, porté par son histoire personnelle, un homme porteur de prestige et de plus-value, capable d’aider à resserrer les rangs et à remettre le groupe en ordre de marche.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Si Eto’o est cette personne, ce messie, il ne faut pas oublier que c’est aussi une forte tête, un homme controversé, capable du pire, indiscipliné quand il en a envie, cauchemardesque pour les entraîneurs avec des statistiques assez peu élogieuses en sélection.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">Nous ne sommes plus qu’à quelques mois de 2017. L’échéance du Gabon va mettre des poids lourds sur la route du Cameroun. Le Nigéria, la Zambie, la Côte d’Ivoire seront des adversaires inévitables. A bientôt 40 ans, Eto’o ne serait qu’une solution de passage, pour construire du définitivement provisoire, une solution transitoire qui pourrait avoir un certain panache. A contrario, pour construire un vrai projet d’avenir, l’idée n’est franchement pas fameuse. D’autant qu’en 2018 il faudra déjà aller se frotter aux meilleures nations du monde en Russie. Le sélectionneur des Lions devra composer avec un effectif qu’il pourra durablement gérer, pour des besoins de cohésion dans le cadre d’une stratégie qui donnerait l’avantage à la projection. Car si le football n’est pas une science exacte, on sait que le hasard, la providence, le sort et même Dieu n’y prennent aucune part. Les meilleurs sont souvent ceux qui ont la discipline chevillée au corps, le travail pour seule maxime et la constance pour seul marabout. <o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <br /> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR">C’est maintenant que le Cameroun doit s’inscrire dans cette logique. En respectant le choix d’Eto’o de se retirer définitivement et en considérant que la force des enjeux futurs dépasse la simple envie de venir à bout d’une difficulté passagère.<o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/5AvpoPplU98/0.jpg" frameborder="0" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/5AvpoPplU98?feature=player_embedded" width="320"></iframe></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><br /></span></div>

LE SPECTRE DE SAMUEL ETO'O PLANE SUR LES LIONS

Depuis qu’il a mis un terme à sa carrière internationale en 2014, Samuel Eto’o est devenu un marronnier pour les analystes et les co...

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ESSOMBA EYENGA RÊVAIT DE PROFESSIONNALISER LE FOOTBALL CALEROUNAIS

<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px;"> <br /></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMrqLOVdR6YVFgyPKH1eCE57kByP4zkOcIzYB2X9QY-BPDtobJrouBPXSiiFohRgyLdk4fGuWPha8YeIVRNhmedD2DShJp4yxID4LNVq0FWvoC0mKGNWnS5-u2EsiwNi5j7hLlf3i6RFU/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMrqLOVdR6YVFgyPKH1eCE57kByP4zkOcIzYB2X9QY-BPDtobJrouBPXSiiFohRgyLdk4fGuWPha8YeIVRNhmedD2DShJp4yxID4LNVq0FWvoC0mKGNWnS5-u2EsiwNi5j7hLlf3i6RFU/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> <br /></div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Essomba Eyenga est mort. Dans les temps tumultueux que traverse le football camerounais, c’est une mauvaise nouvelle qui est tombée à un très mauvais moment.</div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> </div> <div class="text_exposed_show" style="background-color: white; color: #1d2129; display: inline; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px;"> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px;"> Ce que les plus jeunes savent moins, c’est que Essomba Eyenga était un redoutable fiscaliste qui a terminé sa carrière au sommet de la hiérarchie de l’administration des finances.</div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> </div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Ce que les aficionados de foot savent un peu mieux c’est qu’il a dirigé le Tonnerre Kalara Club de Yaoundé pendant de longues années, contribuant à l’amélioration des conditions de vie des footballeurs. Essomba Eyenga laisse cependant comme un goût d’inachevé dans sa case inventaire. Il est un des hommes par lesquels la professionnalisation aurait pu arriver dans le football camerounais, bien avant le feu de paille Mbarga Mboua et son Olympique de Mvolyé. Mais la belle histoire s’est arrêtée au versement de salaires augmentés et au paiement de primes, sans retard. Ce n’est pas vraiment l’idée qu’on se ferait de la professionnalisation dans son ensemble, même en son temps, c'était déjà une révolution.</div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> </div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Notre ligue de football se prend pour professionnelle. Alors qu’elle est dirigée par des amateurs supervisant un football qui ne demande qu’à sortir de l’amateurisme. La professionnalisation est l’un des chantiers qui attendent les candidats déclarés à la présidence de la ligue. On ne peut pas répondre avec efficacité à la question de savoir lequel de Wandja ou Happy y parviendrait le mieux. On ne sait toujours rien du programme que chacun compte défendre le temps de la campagne. Quant à Pierre Semengue, son bilan de président sortant ne laisse planer aucun doute. Le miracle ne se produira plus après toutes ces années.</div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> </div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> D’ailleurs, la professionnalisation n’est pas l’affaire de la ligue, mais de la fédération. La ligue peut contribuer à infléchir ou à remobiliser les orientations décidées par la fédération. Son rôle ne deviendrait central que si les deux organismes travaillaient ensemble en dépit des rapports de tutelle qui les lient. Seulement voilà, la fédération et la ligue ne sont plus en bonne intelligence depuis bien trop longtemps. A la querelle d’ego, s’ajoutent un fonctionnement brouillon de la fédération et une inopportune implication dans la vie politique qui viennent brouiller les cartes de la sérénité d’une administration qui a besoin de se concentrer sur l’essentiel. Et l’essentiel pour la fédération aujourd’hui revient à ficeler un projet potable -pour la construction de nouveaux stades municipaux- qui ne soit pas retoqué par les bailleurs de fonds comme le FEICOM</div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> </div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Au total, le tableau n’est pas sombre parce qu’on voudrait le peindre en noir. Les principaux acteurs d’une éventuelle professionnalisation, morts ou vivants, n’ont pas fait grand chose jusqu’ici pour dégager l’horizon et faire espérer que l’embellie serait pour bientôt</div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> <br /></div> <div style="font-family: inherit; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiQ6oHmHX671IdN50v08Q0dw_JQYUglD1yu7F2jeRZk_VOl9-MP3jBQv8QKzibid7AQP2rHGGG8pBaZ9tKyGbaq5XalE8RDORxM2rz-jvSQW64ZAR9uIEcxx3quiDuE5MpS05EwoZSoCo0/s1600/13418721_10208168683086185_8006529484043395599_n.jpg" imageanchor="1"></a><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJ1meIYAeSj9gzW6TEMQ1RlztRzLRK8FthAPKMvnvdO2nzl_1V3a2Sjfz30b36JHWQoZxIcE-_DALbJVQxJuZMeKwREfrzJ38VhIqBn5ePuaOKvgEDCTgMGYtU3muGZZapKWZosvsINZo/s1600/13427976_10208168683046184_4557419775912312665_n.jpg" imageanchor="1"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiJ1meIYAeSj9gzW6TEMQ1RlztRzLRK8FthAPKMvnvdO2nzl_1V3a2Sjfz30b36JHWQoZxIcE-_DALbJVQxJuZMeKwREfrzJ38VhIqBn5ePuaOKvgEDCTgMGYtU3muGZZapKWZosvsINZo/s320/13427976_10208168683046184_4557419775912312665_n.jpg" width="320" /></a><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiQ6oHmHX671IdN50v08Q0dw_JQYUglD1yu7F2jeRZk_VOl9-MP3jBQv8QKzibid7AQP2rHGGG8pBaZ9tKyGbaq5XalE8RDORxM2rz-jvSQW64ZAR9uIEcxx3quiDuE5MpS05EwoZSoCo0/s320/13418721_10208168683086185_8006529484043395599_n.jpg" width="297" /></div> </div>

ESSOMBA EYENGA RÊVAIT DE PROFESSIONNALISER LE FOOTBALL CALEROUNAIS

Essomba Eyenga est mort. Dans les temps tumultueux que traverse le football camerounais, c’est une mauvaise nouvelle qui est tombée à...

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CAN 2017: le Cameroun est qualifié , boudons pas notre plaisir

Il y avait hier soir comme une disproportion entre la jubilation des Lions Indomptables et la qualité générale du spectacle qu'ils ont offert. Une victoire étriquée, un but à zéro face à la petite Mauritanie était le minimum qu'on en eusse attendu. Le Cameroun sera donc de l'aventure gabonaise en 2017, puisqu'il est assuré de terminer premier de sa poule de bras cassés.<br /> <br /> Oui, il y avait comme une disproportion entre la joie affichée de l'Equipe Nationale et la qualité de ses prestations dès qu'elle est confrontée à des formations plus structurées comme cela a été le cas lundi soir. Tout de suite, ses lacunes deviennent évidentes comme le nez au milieu de la figure. Et sa défense prend les allures d'une passoire.<br /> <br /> En 2017, il s'agira d'affronter des nations costaudes, entrainées, préparées à l'objectif du titre. Ce ne seront plus ni la Gambie, ni la Mauritanie, ni même l'Afrique du Sud. Mais des équipes fanion qui travaillent autour d'un projet stable, qui cultivent des automatismes, qui évoluent dans une ambiance sereine et qui bénéficient d'un encadrement de tout premier ordre. Ce seront aussi des équipes nationales dont les joueurs sont conscients de la valeur symbolique du maillot, cultivent l'humilité et sont, peu ou proue, débarassés des tensions générées par une implication quasi physique des autorités politiques.<br /> Nous serons alors loin de la balade de santé d'hier soir à Nouakchott. Il faudra tenir le rang et la réputation qu'une gloire ancienne et éteinte nous a transmis.<br /> <br /> Pour cela, hugo Broos et son staff doivent commencer à défnir dès à présent les contours de l'équipe qui sera de l'expédition gabonaise; et la faire travailler aussi souvent qu'il sera possible pour atteindre l'objectif raisonnable que la Fédération doit maintenant définir. Viser le titre serait ambitieux. Mais dans la mesure du possible, à la limite de la gageure. D'autres équipes nationales déja à maturité étant plus factuellement légitimes à y prétendre.<br /> <br /> Pour l'instant, le Cameroun est qualifié et ne boudons pas notre plaisir en perspective des soirées endiablées et palpitantes qui s'annoncent. Dans le football comme dans la vie, aucune situation n'est figée. D'ici à 2017, le Cameroun a les qualités humaines et techniques, les talents aussi pour se hisser au haut du panier. A condition que tous les acteurs de ce projet prennent leur rôle au sérieux et mettent du coeur à l'ouvrage.<br /> <br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwAptkeE-RUTYvGfBqG-WAaH8G30cC0av9dMR6CM4p7g-p4Q84rOoX1-YI_2SigdsULaVIg8SBaaVriSRNCkOi-ncjKodfdBzPf_0pZjlIRToa2hgG_svZ4RxQB-sFEmMUTMoa3E2jK5E/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwAptkeE-RUTYvGfBqG-WAaH8G30cC0av9dMR6CM4p7g-p4Q84rOoX1-YI_2SigdsULaVIg8SBaaVriSRNCkOi-ncjKodfdBzPf_0pZjlIRToa2hgG_svZ4RxQB-sFEmMUTMoa3E2jK5E/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <br />

CAN 2017: le Cameroun est qualifié , boudons pas notre plaisir

Il y avait hier soir comme une disproportion entre la jubilation des Lions Indomptables et la qualité générale du spectacle qu'ils ont o...

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Cameroun : Que reste-t-il de l’unité nationale ?

<br /> <br /> Les célébrations marquant la fête de l’unité nationale ne sont plus jamais ce qu’elles étaient. L’occasion de réfléchir sur l’état de la nation, de recenser les problèmes qui en entravent l’épanouissement et de poser les jalons de sa consolidation. La fête de l’unité nationale est devenue un souvenir épi-phénoménal, l’occasion de battre des records d’ivresse, de jaser sur la coiffure de la première dame quand elle n’est pas absente, ou sur une panne de voiture quand il n’y a rien de plus trivial à commenter. Dans l’histoire du Cameroun pourtant, le 20 mai est une date charnière. Elle participe à l’accouchement de la République.<br /> <br /> C’est le référendum du 20 mai 1972 qui avait consacré l’unification des Cameroun anglophone et francophone. Le même qui avait mis un terme à 11 ans de fédéralisme, de lourdeurs administratives, d’empilement des gouvernements et de difficultés de gestion. Le 2 juin 1972, la constitution avait inscrit dans le marbre la naissance de la République Unie du Cameroun, une et indivisible, intangible à ses frontières, souveraine en son territoire. La barrière linguistique disparaissait, les camerounais n’auraient plus pour signe distinctif que leur appartenance à la Nation. Dans la foulée, dès 1975, une politique de quotas ethniques allait être mise en place. Elle vise alors à permettre à toutes les sensibilités de la république d’accéder à l’ascenseur social et de participer ainsi, ensemble, à un « développement régional équilibré ».<br /> <br /> Rendus en 2016, il ne faut pas craindre de dire que l’unité nationale est au moins fissurée.<br /> La politique de l’équilibre régional a fait la preuve de toutes ses limites. Les défenseurs de la méritocratie, tous ceux que la politique de l’équilibre régional a laissé sur le bas côté de l’ascenseur social en sont revenus et ne se revendiquent plus comme des parts entières de cette unité nationale devenue, pour eux, factice. Mais ce n’en est pas la seule raison. Mise en cause par ailleurs, une classe dirigeante encroûtée, croulante, trempée dans un bocal de naphtaline, indécrottable, hostile au renouvellement, soupçonnée d’entretenir la corruption après s’être rendue responsable de la faillite générale, ouverte au népotisme et la gestion clanique. Même si elle n’a pas de visage parce qu’elle recrute aux quatre coins du pays. Mis en cause aussi, une succession de chocs économiques mal amortis qui ont lourdement contribué à l’abaissement du niveau de revenus, confinant une partie de la population à la misère et à la survie en face d’une oligarchie obèse de son opulence, arrogante de son train de vie.<br /> <br /> Les camerounais n’hésitent pourtant pas à se retrouver et à faire bloc quand les causes le justifient. Face au péril Boko Haram ou dans l’affaire qui l’a un temps opposé au Nigeria sur la propriété de la presqu’île de Bakassi par exemple. Mais le reste du temps, l’unité nationale est devenue un moyen de coercition morale, une arme politique. On la brandit pour annihiler les désaccords sur les problèmes de fond, pour anesthésier les critiques sur la gestion des affaires publiques, pour invalider la discussion sur l’efficacité des 34 dernières années de magistrature suprême, pour tout. Et l’incertitude de la situation sociale, la difficulté a situer le Cameroun dans les années qui viennent font penser que l’unité nationale au sens où l’espérait ses pères fondateurs est en grand danger.<br /> <br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <br /></div> <iframe allowfullscreen="" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/tckDEAwJZCs/0.jpg" frameborder="0" height="266" src="https://www.youtube.com/embed/tckDEAwJZCs?feature=player_embedded" width="320"></iframe><br /> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <br /></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYkrnJPznfANnOHTf9Uqy4cC8qis0HxzyyeqmABkL3O-YnNrrPzKxRrqXhKpzPc1OFcEylpP1FluxxYwgIXD37Q8CdgdOa4bLgor7NfYi94ezVOAVEe1gqOSIPLrvW27GjpPH8luB_z-s/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhYkrnJPznfANnOHTf9Uqy4cC8qis0HxzyyeqmABkL3O-YnNrrPzKxRrqXhKpzPc1OFcEylpP1FluxxYwgIXD37Q8CdgdOa4bLgor7NfYi94ezVOAVEe1gqOSIPLrvW27GjpPH8luB_z-s/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <br />

Cameroun : Que reste-t-il de l’unité nationale ?

Les célébrations marquant la fête de l’unité nationale ne sont plus jamais ce qu’elles étaient. L’occasion de réfléchir sur l’état de la n...

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Sale temps pour le foot Camerounais

<span style="background-color: #f1f0f0; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 20.48px; white-space: pre-wrap;"><span style="font-size: large;">Quel est le point commun entre Christele Djomnang, Marc Vivien Foe, Samuel Okwaraji, Gregory Mertens, Sekou Camara, John Ikoroma et Patrick Ekeng? Ils étaient tous joueurs de football et tous, un jour, se sont effondrés lors d’un match ou d’un entraînement, sans raison apparente. Victimes d’un malaise cardiaque ou d’une rupture d’anévrisme, ils en sont morts. Des sportifs professionnels, aguerris à l’effort intense, qui s’étalent au sol de tout leur séant, comme abandonnés par leurs forces, dans un moment sans enjeu. Les images des ces scènes sont toujours aussi impressionnantes. Le regard perdu, hébété, les yeux révulsés, le souffle court pour certains, des spasmes, une douleur qui flotte dans l’air, des secouristes ou des médecins qui s’activent dans des gestes d’impuissance, et puis, fatalement, la mort. La semaine dernière, en quelques heures, le Cameroun a été frappé à trois reprises. Trois événements tragiques qui ont réveillé la blessure Marc Vivien Foé. On en connaît désormais les causes les plus récurrentes : épuisement physique, arythmie cardiaque, pression sanguine trop élevée, malformation cardiaque, crise cardiaque foudroyante, rupture d’anévrisme, répétition des chocs physiques et malheureusement aussi, dopage. En la matière, il n’y a pas de fatalité absolue. En plus de s’astreindre à une certaine hygiène de vie, les sportifs de haut niveau devraient être contraints à des contrôles médicaux méticuleux, exigeants, réguliers, aidés par le meilleur des technologies de la santé. Ce devrait être le préalable, la condition rédhibitoire à la poursuite de leur carrière. Que la FIFA se soit saisi du problème depuis 2007 n’a pas beaucoup fait bouger les lignes. Il y a toujours autant de morts sur les stades. A l’exception notable de quelques grands clubs au monde, les examens médicaux sont encore d’une déconcertante banalité. Faute de moyens souvent, mais aussi parce qu’on sacrifie l’humain ou l’humain choisit de se sacrifier sur l’autel des gains potentiels. Il faut prendre la situation pour ce qu’elle est. La généralisation d’examens approfondis dans le football n’est pas pour demain. Pas si les moyens disponibles le restent dans de telles proportions d’inégale répartition. Dans les pays comme le Cameroun, désormais sans stade après ce qu’il s’est passé jeudi, le football reste un spectacle improductif par défaut d’infrastructure. Ce sont les stades qui drainent le public. S’il n’y a pas de public, il n’y a pas de recettes publicitaires et il n’y a pas d’écoulement de produits dérivés non plus. Or un suivi médical constant et de qualité nécessite tout cet argent. Il ne faut donc pas être surpris si nous continuions à enregistrer des morts. Nous devrions même nous y préparer.</span></span><br /> <span style="background-color: #f1f0f0; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 20.48px; white-space: pre-wrap;"><span style="font-size: large;"><br /></span></span> <span style="background-color: #f1f0f0; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 20.48px; white-space: pre-wrap;"><span style="font-size: large;"><br /></span></span> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbAxXORojkaGzYam14EtE79pUMz_Pir5Q4IgDIlfU50jynrCgtI9_TPPefEx8X4quGiJYkD5gkGTG-mOD3L3o2GiYobbHx4yQ8wpLfLBG7jtclXUvqaaDGVgJc6BfhHc_4IxNvgNLHFoY/s1600/Folie3.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="180" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbAxXORojkaGzYam14EtE79pUMz_Pir5Q4IgDIlfU50jynrCgtI9_TPPefEx8X4quGiJYkD5gkGTG-mOD3L3o2GiYobbHx4yQ8wpLfLBG7jtclXUvqaaDGVgJc6BfhHc_4IxNvgNLHFoY/s320/Folie3.jpg" width="320" /></a></div> <span style="background-color: #f1f0f0; font-family: 'Helvetica Neue', 'Segoe UI', Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 20.48px; white-space: pre-wrap;"><span style="font-size: large;"><br /></span></span>

Sale temps pour le foot Camerounais

Quel est le point commun entre Christele Djomnang, Marc Vivien Foe, Samuel Okwaraji, Gregory Mertens, Sekou Camara, John Ikoroma et Patrick ...

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Le Rappeur Camerounais "GENERAL VALSERO " fait un tacle au regime en place

<span style="background-color: #f6f7f9; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; line-height: 16.08px;"><span style="font-size: large;"><br /></span></span> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><span style="font-size: large;">33 ans de dictature</span></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><span style="font-size: large;">33 ans de corruption</span></span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de népotisme</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de destruction</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de souffrance de misère sans interruption</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans d'arrogance, de violences et d'humiliataion</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de mensonges bercés par des illusions</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de pénitence de sueur de larmes à profusion</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de prières toujours en quête de solution</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de 33 pour noyer nos ambitions</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de Castel et de guiness comme une punition</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de promesses promesses de grandes ambitions</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de Bikutsi pornographique comme solution</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de contrôle, contrôle de nos émotions</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de chinois de grosses incompréhensions</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de sodomie comme une étrange addiction</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans d’agressions de viols à répétition</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">33 ans de couche toi je t'allume et ferme ta gueule</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">Après 33 ans chaotiques tu te prépares aux élections qu'est-</span></div> <div class="MsoNormal"> <span style="font-size: large;">ce qui t'arrive arrête la Coke c'est quoi ton truc l'explosion.</span></div> <div class="MsoNormal"> <br /></div> <br /> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><span style="font-size: large;">Regarde ces jeunes ils ne rêvent plus sinon de partir très loin. Regardent ces jeunes ils ne rêvent plus sinon de partir très loin. Regarde ces jeunes ils ne luttent plus..... Tu veux garder le Cameroun pour toi nous on préfère aller bagarrer avec les requins........On préfère prendre la mer la mer ......</span><o:p></o:p></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><span style="font-size: large;"><br /></span></span></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif7dFqAHizfS76rHZA1a4GUxN-GYf6JyukIvzasnfqIJTYc4ejS6F_FThf2wusLjVKB08SP6lyEf48iSnCrZO9ol5ly0hBYyMu43hI8enP7Gnh3IwjJRNaEjJyQmhRXrwEVY_wYIAi3Tg/s1600/13131661_1186908227999584_2021014346127179318_o.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="184" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEif7dFqAHizfS76rHZA1a4GUxN-GYf6JyukIvzasnfqIJTYc4ejS6F_FThf2wusLjVKB08SP6lyEf48iSnCrZO9ol5ly0hBYyMu43hI8enP7Gnh3IwjJRNaEjJyQmhRXrwEVY_wYIAi3Tg/s320/13131661_1186908227999584_2021014346127179318_o.jpg" width="320" /></a></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><span style="font-size: large;"><br /></span></span></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><span style="font-size: large;"><br /></span></span></div> <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> <iframe width="320" height="266" class="YOUTUBE-iframe-video" data-thumbnail-src="https://i.ytimg.com/vi/0wkrqczdI_Y/0.jpg" src="https://www.youtube.com/embed/0wkrqczdI_Y?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe></div> <div class="MsoNormal"> <span lang="FR"><span style="font-size: large;"><br /></span></span></div>

Le Rappeur Camerounais "GENERAL VALSERO " fait un tacle au regime en place

33 ans de dictature 33 ans de corruption 33 ans de népotisme 33 ans de destruction 33 ans de souffrance de misère sans interruptio...

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NATHALIE KOAH SERAIT-ELLE ENCEINTE?

<div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px;"> <br /></div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Hélène Nathalie Séraphine KOAH, personne n'est camerounais si ce nom ne lui évoque rien.</div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Cette jeune femme s'est retrouvée, un matin, comme par une opération du "sans esprit", au coeur du scandale amoureux (et sexuel?) le plus retentissant que le Cameroun ait jamais connu. Le plus scabreux aussi.</div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Humiliée, vilipendée, huée, conspuée, déshonorée, chosifiée, battue, livrée en pâture aux pires raclures... Quand je l'ai vue la première fois... C'était à ne rien y comprendre. Une jeune fille ordinaire, le regard apeuré, le geste maladroit, sans hardiesse et si violemment exposée, l'air tremblotant d'un lapin ébloui par les feux d'une auto au milieu de la nuit.</div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Et qu'est-ce que je vois depuis quelques jours? Une femme épanouie, droite dans ses bottes, distillant des conseils de vie...j'allais oublier << REVENGE PORN >> son Roman-recit interdit. Elle a retrouvé le sourire comme si toute cette histoire était derrière elle et qu'elle n'en avait gardé aucun souvenir, aucune séquelle... Heureuse de revivre comme on s'éveille d'un cauchemar... Physiquement très apprêtée. SWAG, IN, pleine d'élégance, chaque jours dans des tenues plus affriolantes les unes que les autres. D'un goût exquis</div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Je connais quelqu'un qui doit s'en mordre les doigts.</div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-bottom: 6px; margin-top: 6px;"> Je n'irai pas jusqu'à lui faire une proposition indécente. Mais si elle se décidait à me donner, je prendrais quand-même la peine de réfléchir avant de décliner, à la manière d'un gentleman.</div> <div style="background-color: white; color: #1d2129; display: inline; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-top: 6px;"> Anti et pro Eto'o, venez confirmer. Sans faire la guerre que NATHALIE est enceinte </div> <div> <span style="color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif;"><span style="font-size: 14px; line-height: 19.32px;"><br /></span></span></div> <div> <span style="color: #1d2129; font-family: helvetica, arial, sans-serif;"><span style="font-size: 14px; line-height: 19.32px;"><br /></span></span><div> <table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; text-align: left;"><tbody> <tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTeR68HngsuTBTUftI_Sm17l61jh8fAFOWez1wKGT3qIMdMCp_f14-VgguIP0lw-zd7_gWFnaEyM4QkaOn6w5iJ6azVfP3jiGpb5sw_umqc0Eq6Au4fF1PnpqxhU3MVMnzOJ4g7ulJFcE/s1600/11392979_10205719517018564_7463889103528276779_n.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgTeR68HngsuTBTUftI_Sm17l61jh8fAFOWez1wKGT3qIMdMCp_f14-VgguIP0lw-zd7_gWFnaEyM4QkaOn6w5iJ6azVfP3jiGpb5sw_umqc0Eq6Au4fF1PnpqxhU3MVMnzOJ4g7ulJFcE/s320/11392979_10205719517018564_7463889103528276779_n.jpg" width="320" /></a></td></tr> <tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">AVANT </td></tr> </tbody></table> <div style="background-color: white; color: #1d2129; display: inline; font-family: helvetica, arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 19.32px; margin-top: 6px;"> <br /></div> </div> <table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: right; margin-left: 1em; text-align: right;"><tbody> <tr><td style="text-align: center;"><a 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/></a></td></tr> <tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">APRÈS</td></tr> </tbody></table> <table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody> <tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5O5zzbd92YUQbE-I_uE_Hpl7VWNqwCGsw389T-fMHN4_JuDUkay7QV9NBe7nZpUXpz7AGm7UfMlQvFcLd1Evyq_eYQ87CPnjwG17XIsTq5f1BDyY9Pv_rQ1pYecryCM9lNfPIiEJ2Pwk/s1600/13087847_1807823259439230_1126014182637664018_n.jpg" imageanchor="1" style="clear: right; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" height="212" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj5O5zzbd92YUQbE-I_uE_Hpl7VWNqwCGsw389T-fMHN4_JuDUkay7QV9NBe7nZpUXpz7AGm7UfMlQvFcLd1Evyq_eYQ87CPnjwG17XIsTq5f1BDyY9Pv_rQ1pYecryCM9lNfPIiEJ2Pwk/s320/13087847_1807823259439230_1126014182637664018_n.jpg" width="320" /></a></td></tr> <tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">APRÈS</td></tr> </tbody></table> <div> </div> </div>

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